Le 7 octobre 2025, mon site a été piraté.
En quelques minutes, tout avait disparu : l’accueil, les articles, les programmes…
Il m’a fallu plusieurs heures pour tout récupérer.

Sur le moment, j’ai voulu y voir un simple incident technique.
Mais dix jours plus tard, le 17 octobre, en sortant du désert où j’animais une retraite, j’ai découvert que mon profil Facebook personnel avait été désactivé sans le moindre avertissement.
Pas de message, pas d’explication, pas de possibilité d’appel.
Et pourtant, je payais chaque mois pour un compte vérifié.

Le 9 octobre, entre ces deux événements, j’avais publié un texte sur ma page Facebook professionnelle.
Il commençait ainsi :

“Le mail est arrivé un mardi matin…”

Clique ici pour le lire.

Ce texte a été lu, aimé et partagé par des milliers de personnes : plus de 7 200 likes, près de 5 000 partages.
Une onde de sincérité, d’émotion, de vérité.

Alors, sans être paranoïaque, je trouve troublant que ces trois dates se suivent :
le 7, le 9 et le 17 octobre.

Aujourd’hui, ma page Facebook est toujours visible, mais je ne peux plus y accéder.
Je ne peux plus publier, ni répondre, ni administrer mes groupes.
Tout ce que j’ai construit patiemment ces dix dernières années est figé, comme enfermé derrière une vitre.

Mais je veux te le dire simplement :
ce n’est pas la fin.
C’est un passage.

Je ne crois pas aux hasards inutiles.
Je crois aux signes qui nous invitent à nous détacher de ce qui ne nous appartient pas.
Et ces derniers jours m’ont confirmé une chose essentielle : dépendre des grandes plateformes, c’est bâtir sur du sable.
Elles peuvent effacer une voix, mais jamais une présence.

Ce que je transmets ne dépend pas d’un algorithme.
C’est vivant, libre, profondément humain.
Et c’est pourquoi j’ai choisi de continuer ailleurs.

Si tu veux rester relié à mes textes, mes réflexions, mes invitations à méditer et à te reconnecter à l’essentiel, je t’invite à rejoindre ma liste privée.
C’est désormais là que je partagerai tout, sans filtre ni censure, dans le même esprit d’authenticité et de liberté qui m’anime depuis le début.

Merci pour ta présence, ton soutien et ta fidélité.
Ce que nous avons créé ensemble ne peut être effacé.
Parce que ce n’est pas une page Facebook qui nous relie.
C’est un espace intérieur, vivant, conscient.
Et celui-là ne connaît aucune frontière.

🌺🦋
Jean-Marc et Jacqueline Terrel

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